Qui sommes nous ?

L’INSTITUT de JAEGER pour la santé et la longévité est une association à but non lucratif régie par la Loi du 1er juillet 1901.

Prix Galien

 
Elle porte le nom de « de JAEGER » en hommage à Maître Albert de JAEGER, premier grand Prix de Rome qui a ciselé la médaille de la médecine qui récompense chaque année dans plusieurs pays l’innovation en recherche pharmaceutique et dont la notoriété et le rayonnement en ont fait, depuis 1970 date de sa création, la plus grande distinction mondiale en cette matière : le prix Galien (www.prixgalien.fr).

Les objectifs de l’INSTITUT DE JAEGER sont multiples et répondent à la définition de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) de la santé :

« Un état de complet bien-être physique, mental et social, [qui] ne consiste pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité ».

Définition qui date déjà de 1946, soit plus de 70 ans. On voit bien que le concept « ne pas être malade » pour définir la santé était déjà largement obsolète. Vient ensuite se pose la question de l’intrication entre le « bien être physique », le « bien être mental » et enfin, le « bien être social ». Les trois sont certes liés : peut-on être bien physiquement, si on est mal mentalement (stress...) et/ou si l'on est en déserrance sociale ? Poser la question en ces termes conduit fatalement à confiner la santé dans les aires sociales et psychologiques, ce qu’elle n’est pas.

La santé est avant tout un équilibre (hémostasie) extrêmement complexe et en permanence remis en question par une multitude de facteurs bien connus aujourd’hui : stress, environnement, maladies… Notre mission est d’apporter des informations fiables et objectives sur ces sujets.

Mais, il est un facteur majeur, présent chez 100 % des personnes et dont personne ne parle, bien qu’il soit certainement le facteur le plus important d’altération de notre santé : la sénescence[2].

Celle-ci altère tous nos systèmes physiologiques dès la fin de l’adolescence et avance insidieusement vers une fragilisation constante des systèmes constituant notre organisme, ouvrant des voies royales vers les maladies, qui lorsqu’elles surviennent, aggravent notre sénescence. Nous sommes en plein cercle vicieux.

Aujourd’hui, rester en bonne santé nécessite avant tout d’intervenir sur la sénescence, sa sénescence, avant même la survenue de la maladie : il ne faut pas attendre d’être malade pour s’occuper de soi, de sa santé, de sa physiologie.

Ce point est d’ailleurs sous-tendu dans les grands concepts qui émergent de cette définition de la santé de l’OMS. La prévention, la promotion et l’éducation pour la santé sont les éléments indispensables d’une politique de santé cohérente. La prévention est selon l’OMS en 1948, «l’ensemble des mesures visant à éviter ou réduire le nombre et la gravité des maladies, des accidents et des handicaps ».

Ces concepts ont été actualisés par la Charte d’Ottawa[3], établie à l’issue de la première Conférence internationale en 1986, ratifiée par la France, qui précise que la promotion de la santé a pour but de « donner aux individus davantage de maîtrise de leur propre santé et davantage de moyens de l’améliorer».

Ce dernier concept est fondamental, car il met de façon parfaitement explicite l’individu au cœur de sa propre santé. A chacun de prendre, le mieux possible, sa santé en main et de l’améliorer !

Comment peut-on être plus clair ?

Mais comment peut-on prendre sa santé en main aujourd’hui en 2020, soit 74 ans après la déclaration inaugurale de l’OMS et 34 ans après Ottawa ?

Il faut simplement changer de paradigme.

Ne plus regarder la santé sous l’angle de l’absence de maladie, mais sous l’angle de la physiologie et des équilibres homéostasiques, fondements de la santé.

C’est pour toutes ces raisons que l’INSTITUT de JAEGER a été créé en 2010 pour sensibiliser et informer les personnes qui le souhaitent à ce nouveau paradigme de la santé dans un esprit de durée.
 

Notre structure parfaitement indépendante est d’autant plus nécessaire aujourd’hui qu’il existe de très nombreuses sources d’informations dont la pertinence, voire la qualité sont très douteuses.
 

Informer dans le respect des personnes et dans un contexte d’explosion des connaissances actuelles est notre objectif.

 

Références :

[1] Préambule à la Constitution de l’Organisation mondiale de la Santé, tel qu’adopté par la Conférence internationale sur la Santé, New York, 19-22 juin 1946 ; signé le 22 juillet 1946 par les représentants de 61 États. 1946 (Actes officiels de l’Organisation mondiale de la Santé, n° 2, p. 100) et entrée en vigueur le 7 avril 1948.

[2] La sénescence peut se définir simplement comme une perte de nos capacités fonctionnelles avec l’avancée en âge.

[3] Charte d’Ottawa du 21 novembre 1986.